Bio à écrire, à partir des deux documents ci-dessous.
Puis répartir les infos dans les pages suivantes.
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Témoignage de Pierre Bzt, neveu de bzt. L'ensemble du témoignage a été enregistré. Notes prise et rédigées par BF.
BZT avait la facilité d’étudier. Il alla au collège des Frères Maristes (actuel centre de long séjour), jusqu'à la séparation de l'Église et de l'État. Il partit ensuite au collège des Maristes de Saint-Pé-de-Bigorre. Il passa son bac à 15 ans, avec la mention Très Bien. Il continua ensuite ses études à Ségovie, Espagne (manque de moyens). Il fut nommé professeur à Bayonne puis à Bordeaux. Il avait 22 ans quand la guerre arriva. Il revint en 1919, il avait atteint le grade de lieutenant. Il enseigna à Paris, aux collèges L(o)uis Laurens, L(o)uis le Grand Il n’a jamais enseigné à Louis-le-Grand, malgré ce qui a été dit : il a enseigné dans d’autres lycées parisiens puis à la Sorbonne. Il avait une excellente mémoire. Quand il a eu son agrégation, il dédicaça son diplôme à son oncle qui avait sauté trois classes mais qui avait dû arrêter ses études car il avait fait une méningite durant un examen. Ange-Dominique est la nièce de ?????. j’ai cru comprendre que c’était la petite-fille de Jean BZT Elle est/a été ? Journaliste trilingue au journal Le Monde. BZT est né dans une famille d'agriculteurs aux moyens réduits. Il participait aux travaux de la ferme. Plus tard dans sa vie, quand il était invité au dépiquage, il venait habillé en bleu avec sa valise à la main. Le soir, durant la veillée, il chantait des sérénades avec tous les autres. Il jouait de l’accordéon et il était très doué. Il aurait pu être professeur de musique. Aux Papillons (je crois que c’était l’équipe de rugby de Pontacq), il lui arrivait de jouer à l’improviste : quelqu’un lui donnait le nom d’une chanson, et il était capable d’en jouer l’air ! A la Sorbonne, c’est lui qui a lancé l’idée de l’échange des élèves. Une année, il est parti avec ses élèves à Ségovie, et en échange, il recevait en octobre les élèves de Ségovie. Le soir de leur départ, il faisait une pièce de théâtre et jouait de la musique. Il n’a jamais renié sa région. Il a fait la grand-mère occitan (c’est quoi ?) « grammaire », bien sûr et disait que l’occitan était de l’hybride (je n’ai pas très bien compris cette partie-là), contrairement au béarnais. Il disait aussi que les élèves qui parlaient le béarnais étaient meilleurs que les autres en orthographe. Tout ça, c’est des querelles de spécialistes ou de militants : on laisse tomber. Jean BOUZET a écrit deux pièces béarnaises chercher les titres dans le livre prêté et quatre ou cinq poèmes sur la fête du ?????(je n’ai pas bien entendu). Jean BOUZET avait un fils, Jean-Claude, qui est mort en 2010. Il aimait bien aller dans différentes régions béarnaises pour comparer les différentes prononciations (il y allait surtout le jour du dépiquage). Son père avait créé un orphéon qui était allé jusqu’à Arcachon. L’année de sa promotion (promotion de quoi ? A réécouter), cinq ou six élèves (Mr Cassou, un professeur ?, Mr Bégarrie, un militaire ? et un troisième) sont allés très loin. Tous ces gens (c’était confus) ont plus ou moins écrit des textes, des poèmes, etc. Mais c’était il y a très très longtemps, et seuls les vieux Pontacquais les connaissent. Un jour, sur le chemin du lycée, ses collègues lui auraient annoncé qu’il était admis au Collège de France et il en serait mort d’émotion. (selon d'autres sources, il serait mort subitement en se rendant à son lycée, ou à l'Institut d'études hispaniques). |
Né à Pontacq en 1892
Début de scolarité à St Joseph où il apprend à lire, écrire, compter. Amitié avec Jean-Baptiste Bégarrie (mort en 1915). En 1905 : disparition d collège des Frères Maristes En 1906, continue ses études à l'Institution St Pierre à St Pé de Bigorre en classe de 2nde. 3 ans plus tard, en 1909 il obtient 2 bacs, le bac A(grec) et le bac B (langues vivantes)à 17 ans (p.18) . Puis il prépare une licence d'espagnol par correspondance, complétée par un « Diplôme d'études supérieures » (actuelle Maîtrise). La guerre survient : à 22 ans, Jean Bouzet est mobilisé et en août 1914, il est incorporé au 18ème régiment d'infanterie, démobilisé en 1919. A 27 ans : premier poste de répétiteur stagiaire au collège de la Réole puis à Périgueux. En 1921 : il est en poste à Cognac. (p.20-21). 1922 : reçu à l'Agrégation. En poste au lycée de Bayonne de 1922 à 1928 . Après 6 ans de va-et-vient [...], il est enfin nommé à Bordeaux au lycée de Talence. Nouvelles demandes pour un poste à Paris ou en Espagne. En 1931 il est nommé au Lycée Rollin à Paris 9ème, où une chaire d'espagnol est créée. En 1938 : contrat avec l'éditeur Belin pour 4 ouvrages dont un pour les 4ème « Por buen camino » On ne sait pas à quelle époque J.B. entreprit d'introduire le chant dans ses classes, pas de date non plus pour la création de la chorale qui porte son nom. En 1938-39, un rapport d'inspection mentionne la pratique du chant dans les classes, puis en juin 39, on sait qu'une vingtaine d'élèves sous la direction de J.B. avaient mis au point de remarquables choeurs à la Fête du Lycée Camille Say. (p. 36). On sait qu'il a été chargé de cours à la Sorbonne, il fit jouer à ses élèves des pièces du répertoire classique ou moderne, de Cervantès aux frères Quintero dans l'amphithéâtre Richelieu : « Los Pantalones » des frères Quintero. Auteur d'une pièce en béarnais : « Peyou de Mourle ». En sept.1939, à 47 ans il est à nouveau mobilisé. Puis il retourne au lycée Rollin, écrit un 2ème manuel « Adelante » en 1943, puis la « Grammaire espagnole complète » en 1946. (p.41) Il est à l'origine des cours d'été à Ségovie qui débutent en juillet 1948, il a 56 ans. En 1952 il écrit « Espana de hayer » livre d'histoire pour les 2nde et 1ère et en 1954, « Espana de hoy » livre de géographie physique et humaine. En 1954, il est terrassé par une congestion cérébrale alors qu'il se rendait à l'Institut d'études hispaniques » où il était chargé de cours . (p. 56) . Publications (p. 230-231) Poésies : Hoelhes d'abor La Bouts de la Terra 1911 Lou Yoen baqué La Bouts de la Terra 07/1912 Cla de Lue La Bouts de la Terra 09/1912 Chansons : La flou malaute 1913 lou mouli de Cap-bat 1952 |